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jours de la forme
PREMIÈRE PARTIE;
A + B sin p ^ i es coefficiens sont constans. Il
C -f- D sin 2 ç>
ne s'agit plus que de substituer cette valeur de x a dans P , et la for
mule sera transformée en une autre /^—7—7 —■-r , dans
J R J [/(1 — c 2 sin 2 <p) '
laquelle c sera plus petit que l’unité', et Q sera une fonction
rationnelle paire de sin <p , laquelle contiendra sin <p au même
degré que P contient x.
Nous faisons abstraction du premier cas, parce que la forme de
la valeur de x est un peu différente , et que d’ailleurs en suivant la
méthode de l’article 5, on évite ce cas, puisqu’on tombe toujours
sur des facteurs réels. Mais nous reviendrons dans un autre article
sur le cas des facteurs imaginaires.
Développement de la formule
sin a <p)*
(8). Nous représenterons dorénavant le radical {/(1—c 2 sin a (p)
par A , et aussi par A (<p)et A ( c, <p), lorsqu’on le regardera comme
fonction de (p, ou comme fonction de c et
Considérons d’abord le cas où Q serait une fonction entière, et
soit Q = A -f- B sîn 2 <p -f- C sin 4 q> -f- etc. ; si on représente pour
abréger, l’intégrale p ar 0 n aura
AZ°+BZ'-f-CZ 4 -{- etc.
Mais en différenliant la quantité A cos <p sin 4 * -3 <p, on trouve aisément
la formule
A cos (p sin 4ft-3 <p = Çuk—5)Z 2 * -4 —-(i-j-c a )(2&—2) Z 4 * - *-f-c fl (2 A— 1 )Z 2i ;:
d’où il suit que Z 4 , Z 6 , etc. peuvent s’exprimer au moyen de Z°
et Z 4 , et qu’ainsi dans le cas où Q est une fonction entière, l’inté
grale J'-—— est égale à une quantité algébrique, plus une intégrale
de la forme /( A -f-B sin a !p )
dp
(9). Soit maintenant Q une fonction quelconque rationnelle de
sin a cp ; après avoir extrait la partie entière, et l’avoir traitée comme