DES FONCTIONS ELLIPTIQUES.
20 ï
on aura
P 4- Qy 2
M+Ny*
+ ,— (i ,
x
et la transformée en jr sera
Y
(a-n} C [Q+^TH-^O 4 yTl i
^ / PJJ (l + y y V/0CP + Q7) (M +Ny“)3*
Soit pour abréger , Y = + (M -f- N? *)] s 011 aura P ar
le développement de la quantité précédente,
V = (m + r) C? —pyfç^+(l^yfç4fa*'
Mais par la différentielle de
1+J >
on trouve
+y
Ohy) 2
Substituant dans cette quantité les valeurs de M, N, P, Q, on aura
d (4ÿ) = (f— i■ - y -~Y SAy +^(. 1—py -(T+yW—(?—/’)*■
De là on lire
v =—«jîÿ) ■ -r^+(y—i À ‘)(?—p))/ I 4 l +( m -hi* , X9—p)fr’
Or les intégrales J~y * se ramènent par les transformations
connues , aux fonctions elliptiques de la première et de la seconde
espèce ; donc l’intégrale V ne dépend généralement que de ces
deux fonctions , et par conséquent peut être déterminée par des arcs
d’ellipse.
De Vintégrale Z = Ç-
u J (
dz
(l+^z a ) y(i + 9Z*)
(140). Celte intégrale se ramène aisément aux fonctions ellip
tiques par les méthodes données dans l’article i3j ; mais le calcul
mérite d’être développé dans quelques cas particuliers, à cause des
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