5 26 TROISIÈME PARTIE.
Ces deux valeurs se déduiraient l’une de l’autre en mettant — au lieu
m
de m, supprimant les dénominateurs et changeant les signes des
termes pris alternativement ; c’est aussi ce qu’on déduirait de la
forme des fractions dont le développement donne les fonctions ''£’(777)
et <!> (m).
Substituant ces valeurs dans la formule
•%' — Qn) — ^ (o)] e^ cos 9 + ;?7<& (in) e m °sin 9 + const. >
on aura dans le cas supposé ,
r=
mû .
5s* .mû r 5m*— iom 2 . mû n
: m a e coso —■} =— ¿y 6 e cos 9
720 00240
, co 2 mû . n a* mû . *
4“ — ™ e sin y — — (m*—5m) e sm 9
a"
12
a 6
Û0240
7 20
(/77 5 I0777 3 + 5/77) e m3 sin ô-f- COnSt. •
et par conséquent la valeur générale de est
r ^.|siaG-.^@si„â+3§cos9-4si„ô)
+3^(S sin0+5 Ti cose - io S sin0 - io £ cos0 + 5 i sin(i )
4- const.
Cette formule est telle, qu’on voit au premier coup d’oeil la loi que
suivent les facteurs différentiels ; quant aux coefficiens constans — t
790 } gon'4'0 9 etc * y ne sont autre chose que ceux qu’on déduit
du développement de la quantité 1—~ co cot ~ œ) de sorte que
si on fait
1 — ~ co cot 7 où = A°ûy a 4- B°ct) 4 4" G°ûy G 4" D°o> 8 + etc. ,
On aura généralement
f d (s sin 6)
== const 4“ A°&) 2
dJ
s cos
a )
— B"*) 4 (—+ s cos 9)
+ C”««( d5(sfini)
i/0 5
— s cos
—- etc.