CINQUIÈME PARTIE. § IV.
et il se réduit ultérieurement à
sin a
m . m -f- 2
sin sa
m + i. m + 3
sin Za
m + 2. m -h 4
— etc.
*
i8g
On peut encore multiplier cette dernière expression par sin a,
et le produit sera
i t cos a
2m. m 4-2 m + i.m + 3
2 cos 2a 2 cos 5a ____ 2 cos 4a t-etc
m .m 4- s -m -f* 4 m4-2.m+4- ?) i + S 7
mais la valeur de Z qui résulte de ces transformations n'est con
vergente que dans les premiers termes , et ne peut donner que
difficilement un certain degré d'approximation.
48. Reprenons la formule
r-
-M"
jrx „— 7TX
dx sin rx
e r +e~ r + 2Cosa >
et soit —co, w étant infiniment petite on aura, en substi
tuant et négligeant les quantités de l’ordre dans le second
membre,
dx sin rx 4- fq~ №X dx sin rx
1
SL *
e r -f- 1
e r ■— 1
Mais en intégrant à l’ordinaire dans les limites xz=o f ¿c = co, on a
fe—^dx sin rx = donc en négligeant les quantités de
7 "j - ' &
l’ordre dans les deux membres, on aura la formule suivante,
dans laquelle œ n’entre plus.
/ dx sin rx 1 e r 4- 1 1
e 27tx j 4 ’ e r —1 2r
Celte formule, développée suivant les puissances de r, reviendrait
aux formules connues par lesquelles on détermine la valeur de la
suite + ^ + etc., n étant un nombre pair.
4g. Multiplions les deux membres de l’équation précédente par