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loppable en série entière. Pour p.' comme pour z', cette hypothèse
est trop particulière ; toutes nos démonstrations subsisteront en
supposant que p/ est continue, ainsi que ses dérivées premières,
et qu’elle admet des dérivées secondes finies; dans certains cas
même, l’existence de dérivées premières finies suffira et parfois
simplement la continuité de p/.
mite supérieure y sur toute l’étendue de la calotte S 0 ; on pourra
donc écrire
p.
41. Ces notations étant établies, faisons quelques remarques
dont nous nous servirons souvent dans la suite.
1° Considérons le rapport
c’est une fonction de x', y', z et, comme r 0 et r sont des fonctions
continues, la fonction —- est elle-même continue, sauf peut-être
en un cas, celui oii r est nul. Montrons que, même dans ce cas,
ce rapport reste fini.
Si r 2 est infiniment petit, r 0 2 l’est aussi; leurs parties princi
pales sont :
O
Z'
pour r - : i^x
pour r 0
car z', considéré comme fonction de x 7 , y 7 , est un infiniment petit
du second ordre.
La partie principale du rapport -Vest donc :
ce qui peut s’écrire :