THEORIE DU POTENTIEL NEWTONIEN
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expression qui reste toujours finie. Le rapport et, par suite,
r f
le rapport —— restent finis. O11 peut donc assigner à ce der
nier une limite supérieure A et écrire :
— < A.
• r
D’une manière analogue, on démontre que les deux rapports
—p et — restent finis. On peut, par conséquent, trouver deux
nombres positifs B et C tels que :
4-< G et — <B.
r r
2° Considérons maintenant le rapport
2!
~p r ‘
Ce rapport est fini, tant que r est différent de zéro; je vais faire
voir qu’il en est de même quand r s’annule.
Quand /1 est infiniment petit, sa partie principale est de la
forme :
ax' 2 bx'y 7 -f- ez' 2 ,
comme nous l’avons vu précédemment.
La partie principale de -^ r - est donc :
ax' 2 -f- bx'y' -f- cy /2
'( X '_ X )* + (y'_y)* + Z* ’
qu’on peut écrire :
Sous cette forme, on voit que ce rapport reste toujours fini.
Nous appellerons I) une limite supérieure de ce rapport.
Abordons maintenant l’étude du potentiel de S.