aire
y/ f V-'àu'
«/(SJ 1'
que l’on peut écrire :
V /_ ry dx ' d y'
Choisissons la courbe C de manière que sa projection sur le
plan des xy soit une circonférence, ayant pour centre M 0 et un
rayon égal à p.
Les intégrales V 0 ' et Y' sont étendues à l’aire de ce cercle.
On a, en vertu des hypothèses et des remarques faites (40 et 41) :
VC f - dx ' d r' < f Ar dx '<¥ f AyJx'dy'
J r J ‘ >'o J K
Toutes ces intégrales sont étendues au cercle de rayon p. On
peut alors écrire :
/4ldx'd/=A r ri^l = A T 2. ?>
v 1 0 t/o 1 0
car on voit facilement, en partageant le cercle en anneaux con-
• • /*? clx^ clv^
centriques, que l’intégrale du second membre / — f * a pour
«A> r 0
valeur 2-jxp.
Poincaré. Potent. Newt. n