gures sont, en
II par P’axe
a) et (B, b).
nt 0, l, a, b, on
entre A et B,
\ (sauf excep-
€ l'on appelle
et (a + al),
> la fonction
T
z (appareil)
Soient :
B, la base sur le terrain;
b, la base dans l'appareil;
X = nB, un point de l'axe X [(n + 1)* nadir] ;
x — nb, son correspondant sur l'axe x;
K, l'échelle = variable de base en base.
0.3.1. Dans une première étude, il avait été supposé que l’échelle et les varia-
bles d'orientation (Y, o, O) varient linéairement de couple à couple.
L'expérience ayant montré que cette hypothése ne donne pas de résultats
satisfaisants, on lui a substitué l'hypothése que ces diverses variables sont
affectées d'une variation parabolique.
0.3.2. Les différences premiéres successives de l'une quelconque de ces varia-
bles, l'échelle, par exemple, seront dans ces conditions :
3K ; óàK HF PK ; 3K + 28K : etc.
Soit :
K = f(x) (9
Cette fonction est essentiellement discontinue. Pour lui donner une
forme continue et caractéristique, supposons que les bases deviennent
infiniment petites. C'est une hypothése parfaitement absurde, et il est
curieux de constater que des auteurs qui se hérissent devant la moindre
approximation acceptent cependant cette hypothèse absurde sans sour-
ciller !
Nous aurons alors entre le n° et le (n + 1)° couple, c’est-à-dire au
(n + 1)° nadir (X = nB; x = nb) :
AK = 8K + (n— 1)8K
= 8K — §°K + ns’K
= (5K — 8K) + = 5K
2
= (8K — 8K) + X 5K
AX
AK SK — §2K ô°K
— = — + X—
AX AX Ax.
ds — 8? ô°K
et en appelant M et 2N les limites de Mrz d — Nous aurons,
Ax AX.
à la limite :
dx
d'où, en intégrant :
—
(*) C'est le 9’ (1) du n° (0.2).