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(K, est l'échelle du 1** couple).
Nous avons vu ci-avant (0.2) que X — | Kdx
d'oü :
M N
X =—x*+—-x3 + Kx + C.
2 3
C = a, puisque pour x — 0 on doit avoir X — q (translation en x qe
l'origine).
Kox + a = X, serait la valeur à l'échelle terrain du point d'abscisse x
)
calculée avec l'échelle du premier couple. Finalement
X—X, =— M + Ne
2 3
0.3.3. Nous venons de voir comment, en supposant les bases infiniment petites,
on remplace la ligne des nadirs par une courbe continue.
En coordonnées « terrain » la projection de cette courbe sur le plan
des XY est de la forme
Y — f(X)
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et TR , coefficient angulaire de la tangente en un point, donne, par défi-
nition, l’orientation de la base infiniment petite en ce point, c’est-à-dire
l'angle que cette base fait avec l'axe X.
Et, puisque l'on admet que la bande se développe sensiblement le long
de l'axe des x, cet angle v représente en réalité l'angle de X avec x au
point considéré (*).
On a donc, puisque ¥ est petit (voir ci-aprés 8.6.1)
dY
ig + = + = —
dX
; dL , X
mais nous avons vu (0.2) que Eos — K, et, en appliquant ce résultat aux
axes X et x
dY dy dx
— ee 2 = ¥.K
dx dX ‘dx
d’où
T KC dy vk
dx
comme ¥ est petit, VdK peut étre considéré comme de deuxiéme ordre
et il reste
dY
dx
ce qui montre que K peut étre considéré comme constant, dans les rapports
entre variables de nom différent.
(*) L'axe x est donc en réalité une courbe !