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de l'émulsion photographique et celle de la cellule photoélectrique, d'une part, des
dimensions du diaphragme de la cellule, de diamétre pourtant faible (7 mm), d'autre
part.
Les deux méthodes n’ont révélé aucune dissymétrie de l’éclairement ; ses variations
sont uniquement fonction de la distance au centre.
La méthode photographique de mesure des variations de l’éclairement dans le
champ a consisté à impressionner des plaques appliquées sur le fond de chambre et
éclairées au travers de l’objectif, au moyen d’une boîte à lumière de luminance aussi
uniforme que possible, placée juste devant l’objectif de manière que le flou soit maximum.
En même temps que les plaques a été impressionné un sensitogramme de la même
émulsion. Plaques et sensitogramme ont été développés en même temps dans le même
révélateur. Les mesures de densité faites sur le sensitogramme développé ont permis
de déterminer la relation existant entre la lumination reçue par la plaque et sa densité
optique. On a pu ainsi relier les variations d’éclairement en divers points des plaques
à la mesure de la densité en ces points faite au microdensitomètre Vassy.
Les résultats obtenus sont les suivants. Ils ont été ramenés à 100 au centre.
> : Avec filtre jaune
Eclairement Sans filtre jaune partiellement métallisé au centre
relatif
F/14 | F/9 F/6,2 F/14 F/9 F/6,2
|
|
Au centre ...... 100. | .100 .| . 100 100 | 100 | 10
A2... 92 | 0 89 iM | io | 19
A4... … 81 | 77 | 75 105 103 | 98
A6com....… 62 |. 5 | 56 97 o sg
ABem........ 4 | 41. |. 39 9 ,. 7% |} | €
A 10m... 29 28 | 26 68 | 64 58
Ce tableau appelle quelques commentaires. En premier lieu, l'efficacité d'une
métallisation partielle du filtre est considérable puisqu'elle permet d'obtenir
à peu de distance des extrémités du champ un éclairement relatif (comparé à l'éclaire-
ment sur l'axe) environ deux fois plus élevé. Son intérét est indiscutable malgré l'influence
néfaste qu'elle exerce, comme nous l'avons vu, sur le pourcentage de lumière parasite.
On ne saurait objecter la diminution de l'éclairement absolu sur l'axe. Les émulsions
sont suffisamment rapides pour l'accepter. D'ailleurs, sans filtre métallisé, il fallait
tout de méme obtenir une image de densité suffisante en bordure du champ, ce qui
provoquait une surexposition au centre (le « point chaud » des publications américaines
sur cette question). Les quatrième et cinquième colonnes du tableau ci-dessus font res-
sortir, pour de faibles angles de champ (points à 2 cm et à 4 cm du centre d’une plaque
d’image 18 x 18 cm?) un léger accroissement de la clarté. Cela vient de ce que la métal-
lisation du filtre étudié paraît avoir été calculée et réalisée pour la plus grande ouver-
ture (F/6,2), cas où sa présence est le plus utile. Néanmoins, il y a intérêt à calculer
et réaliser la métallisation partielle pour la plus faible ouverture, afin d’éviter, à de
plus grandes ouvertures, une légère auréole de surexposition autour du centre.
La cellule photoélectrique utilisée dans la seconde méthode était une cellule
Westaphot de 7 mm de diamètre ; elle a été montée de manière à être bien appliquée
contre une glace plan-parallèle placée sur le fond de chambre. Il a été tenu compte
de la perte d’éclairement due aux réflexions sur les faces du verre interposé entre le
fond de chambre et la cellule exploratrice. Les résultats obtenus par cette méthode
sont consignés dans le tableau ci-dessous. Les mesures ont été faites sur le cône dont
les données fournies par la méthode photographique ont été indiquées plus haut.
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