Full text: Reprints of papers (Part 4a)

   
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plus grandes qu'une valeur critique, la courbe s’identifierait avec la bissectrice 
(I) des axes. 
Toutefois, d'autres considérations montrent que, pour les convergences les 
plus fortes, la courbe s'écarte également de la bissectrice, dans le sens 
indiqué par la partie ponctuée de la figure 3. L'auteur a constaté, en effet, 
que dans l'examen de stéréogrammes en vision croisée, le relief est également 
exagéré, ce qui correspond à une convergence plus faible que la convergence 
géométrique. Ceci n'est pas en contradiction avec les expériences des auteurs 
cités ci-dessus, qui n'ont pas considéré de distances inférieures à 3 m. 
En conclusion, on est amené à introduire une relation fonctionnelle entre la 
convergence géométrique (objective) et la convergence physiologique (sub- 
jective). 
On pourrait cependant se demander si, au lieu d'une relation rigide, il ne 
serait pas plus vraisemblable d'admettre une « corrélation », ce qui remplacerait 
la courbe représentative de la figure 3 par un ruban d'une certaine largeur. 
Une telle supposition est certainement valable si on considère l’ensemble d'un 
grand nombre d'observateurs. Mais, pour un seul observateur, la courbe existe 
réellement. En effet, si on admettait qu'à une convergence géométrique détermi- 
née correspond, pour un méme observateur, un domaine de valeurs différentes 
pour là convergence physiologique, le facteur d'exagération présenterait les 
fluctuations correspondantes. Or, s’il est difficile d’apprécier la valeur numé- 
rique du facteur, on n’observe pas de fluctuations dans le relief d’un même 
stéréogramme, qui donne toujours l'impression d'un solide parfait. Le contraire 
x 
devrait être imputé à un défaut grave de la vision stéréoscopique. 
(v) (I) 
A 
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He 
   
  
conv physiol. 
\\ 
  
  
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Fig. 3. 
5. Expression générale du facteur d’exagération. 
Nous simplifierons le problème en considérant, au lieu des angles de con- 
vergence, les rapports de longueur qui donnent la tangente de ces angles 
lorsque l’un des rayons est perpendiculaire à la base. Nous ne désirons, en 
effet, obtenir pour le moment que des expressions de première approximation. 
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