la figure 2 sera
(13)
/ obtenue par la
i correspond à la
(14)
(15)
leur absolue) :
(16)
le dX, paraissant
(17)
(18)
(19)
nt de l'allure de
vent étre ni nulle
stinctes de zéro,
naine.
n développant la
^. Mais, de cette
on de s (cf n° 3
nt la fonction y
(20)
ce qui donne
put n A + Ac +... (21)
H f+ Ac Ae d.
avec
c— (b—s):e
D’après ce qui précède, il faut A, > 0.
En prenant pour y la fonction linéaire K (1 + Ajc), ce qui correspond a une
droite telle que (II) dans la figure 3, on obtient
fra Bo oe — (22)
H e+ A, (b—3)
Cette formule, qui ne contient qu'un seul paramétre, suffit sans doute à
l'observation de stéréogrammes. Elle est insuffisante pour couvrir toutes les
circonstances de la vision stéréoscopique. Par exemple, une formule générale
doit étre valable aussi pour la vision binoculaire naturelle, qui correspond à
B —b, H—e et s— 0. Il faudrait obtenir pour ces valeurs un facteur
d'exagération égal à l'unité, au moins dans un certain domaine. La formule (22)
ne satisfait pas à cette condition. Si on veut obtenir une formule générale, il faut
évidemment prendre plus de termes dans le développement de y.
7. Application aux instruments.
Si l'appareil stéréoscopique comporte des prismes ou des miroirs, les
distances e et s concernent les clichés transportés à l'emplacement des images
que le systéme optique donne de ces clichés.
Si l'appareil comporte un systéme de lentilles tel que le grossissement
angulaire résultant est G, il faut, en premiére approximation, remplacer la dis-
tance e calculée en fonction des prismes ou miroirs, par la distance e : G.
8. Détermination expérimentale des coefticients.
Les coefficients de la formule générale (21) devront étre déterminés par
l'expérience. On pourra se servir utilement de tests analogues à ceux employés
par H.-J. FICHTER [3], mais il importe de les réaliser sur un support rigou-
reusement indéformable, car la moindre déformation introduit des parallaxes
perturbatrices.
La formule (21) montre qu’on obtient d’abord A,, en observant en parallé-
lisme (c — 0). Les autres s'obtiennent alors de proche en proche en faisant
varier la convergence.
Les valeurs trouvées pour les coefficients doivent normalement différer d’un
opérateur à l’autre.
Leur détermination est de nature à préciser la correspondance entre l’espace
objectif et l’espace visuel. On pourrait tenter de donner un caractère plus
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