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SISSONS ici 2 et 4
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u » des formules
dire suivant leur
ces (centrales)
|. «elc.
de quinze nadirs,
; correspondants
Pour ne pas alourdir les notations, nous conviendrons que ce tableau peut
être pris n'importe oü dans le bloc : il suffit d'ajouter un méme nombre entier
à tous les indices inférieurs du tableau, et un méme nombre entier à tous les
indices supérieurs. Cette convention est étendue aux équations qui résultent
de ce tableau et d'autres analogues.
Du tableau (z), on peut déduire le tableau des inclinaisons longitudinales
(Az), à douze éléments, et celui des transports de ces quantités, à neuf
éléments :
251 251 251
A 2, A 2. A 2,
A 2 a 2542 252 2252
(A72) == A) 42 A 2,
4823. AR ARE
2 3 4
On peut encore former le tableau des corrections d’altitude au centre de
chaque couple. Ce sont les moyennes (Mz) des z, au nombre de douze. Consi-
derons d’autre part le tableau des corrections aux inclinaisons transversales
correspondantes, exprimees en radians :
o! o ; oi ot
1,5 2,5 3,5 4,5
9 2
(o) == o1 2 o? * o x: u^ 5
L, 9 4,90 9,9 ;9
o3 o3 o3 o3
1,5 2,5 3,5 4,5
Rappelons que l'indice 1,5 est relatif à tout élément intermédiaire entre 1
et 2, comme il a été convenu au chapitre 1.
Nous supposons que le tableau (e) soit tel qu'à chaque stade du calcul ses
éléments satisfassent aux conditions de raccord (E. 12).
Du tableau (o), on tire celui relatif au transport de ces quantités :
Aot Aot Aot
2 3 4
(Aw) — Aw Ao? Ao?
Ao3 Awd Awd
2 3 4
ND
D
N
Sl
b
Augmentons maintenant la correction 22, relative à l'élément central du
tableau (2), de la quantité 7. Le tableau (A?z) subit la correction
0 0 0
(DA?) — | h — 2h h
0 0 0
et, de même,