ET 
Rte cri titine gt ni : A E 
  
os 
  
EEE 
EEE 
  
pet re 
  
  
mt 
  
  
aa AN RES 
AER ARR 
  
a 
akin 
i a dense ni 
ST 
jen 
S P 
at, 
sie 
T 
iin 
  
NS E PE 
Br aah Ar GRU 
SEES N ia 
em aig der emi wr 
  
€ 
  
b od 
sta 
ERU 
——Ó— 
7 a0 oa c 
  
a A I - 
MEM AA EN i Sr 23 
  
EER ha 
  
  
m 
A MES APER 
| 
| 
ki 
b: 
I 
  
  
En 
  
Salada 
x 
— 
és dé eg A 
A 
EAN 
  
    
AME 
  
    
   
   
    
    
  
   
  
   
    
  
  
     
    
    
   
    
A ret 
Le problème de la détermination du canevas altimétrique a reçu en 1953 une 
solution, due à l’ingénieur géographe de Masson d’Autume. C’est cette solution qui 
est exposée dans les deux premières parties de la présente communication : 
Première partie : Utilisation de données externes pour la détermination d’un réseau 
d’altitudes approchées. 
Deuxième partie : Compensation mécanique des altitudes. 
Cette méthode, appliquée depuis deux ans au levé de diverses régions outre-mer, 
a donné les résultats qu’on en espérait, et elle est actuellement devenue la méthode 
normale d'établissement du canevas altimétrique de restitution dans le cas des levés 
au 1/100.000 en région tropicale. 
Plus récemment, on a vu la possibilité d'améliorer, à la fois en précision et en 
rendement, la détermination du canevas planimétrique, en remplaçant la classique trian- 
gulation par plaques à fentes radiales par un autre procédé, dit « compensation méca- 
nique d'échelle », permettant de profiter, pour la planimétrie, du passage à l'appareil 
de restitution, obligatoire pour la détermination du canevas altimétrique. Ce procédé 
fait l'objet de la troisiéme partie de la présente communication. 
Il nous parait trés important d'insister ici sur le fait que la méthode présentée 
dans cette communication ne vise nullement à remplacer ou à concurrencer celle qui a 
été présentée en 1952. 
Chacune de ces deux méthodes est destinée à la solution de problémes cartogra- 
phiques trés différents, qui se distinguent à la fois par l'échelle du levé et la précision 
cherchée, par la nature du terrain et du canevas au sol existant. L’I.G.N. utilise actuelle- 
ment, soit l’une, soit l’autre, suivant les cas particuliers. 
Les deux méthodes ont été appliquées à l’essai contrôlé d’aérotriangulation effectué 
sur le polygone expérimental suisse « Huttwill », les résultats sont publiés dans une 
note spéciale ; ces résultats confirment entièrement ceux qu’a obtenus l’I.G.N. dans 
ses travaux courants. 
  
  
  
  
re 
de 
tr 
gr 
su 
tei 
pr 
eff 
ra 
ba