Full text: Reprints of papers (Part 4a)

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dont la majeure partie est faite une fois pour toutes. (Cf. systéme de Boltz.) 
L'efficacité du procédé est surprenante ; elle est d'autant plus grande que l’en- 
chainement comporte un plus grand nombre de sommets. On peut vérifier aisément 
que l'influence d'une erreur grossiére sur l'une des données internes est automatique- 
ment amortie ; l'erreur est d'ailleurs révélée par le simple examen des résidus. Remar- 
quons que la méthode fournit accessoirement la valeur de l'erreur systématique — 2. 
Le systéme de valeurs approchées calculées est affranchi de tout systématisme. 
b) Compensation d'ensemble et introduction des donnéés au sol. 
Il s'agit de déterminer un systéme de corrections aux valeurs approchées cal- 
culées. Ces corrections doivent vérifier rigoureusement les conditions imposées par 
l'existence de points connus et de points de liaison communs à plusieurs bandes. Elles 
doivent en outre être conformes à la théorie des erreurs. La solution rigoureuse d’un 
tel problème dépasse de très loin les possibilités des machines à calculer les plus puis- 
santes ; on utilise une analogie mécanique très simple donnant sans aucun calcul l’en- 
semble des corrections. Cette méthode est justifiée par le fait que ces corrections étant 
très faibles (quelques dizaines de mètres), il suffit de les déterminer à 10 ou 20 % près. 
Les principes ci-dessus ont été appliqués au cas particulier des levés photogrammé- 
triques dans les territoires d’Outre-Mer, et plus spécialement à la détermination d’un 
canevas altimétrique. Le canevas planimétrique fourni par la T.P.F.R. est en effet 
suffisant pour l’établissement d’une carte à petite échelle. 
PREMIÈRE PARTIE 
Calcul d’un canevas altimétrique approché. 
Mode opératoire. 
Pour fixer les idées, et bien que la méthode exposée soit absolument générale, nous 
nous placerons dans le cas où les données internes sont déduites d’opérations et de 
mesures effectuées à l’appareil Poivilliers type B. 
Le mode opératoire utilisé normalement à l'I.G.N. pour l'aérotriangulation peut 
être légèrement simplifié, mais reste valable dans l’ensemble. 
Il n’est effectué qu’un’ seul passage; toutes les images plastiques sont formées 
dans les mêmes conditions, par exemple base négative, cliché p à gauche, cliché p + 1 
à droite. Les composantes de la base BZ et BY sont nulles et la composante BX maintenue 
constante. Le premier couple reçoit un basculement transversal approximatif quel- 
conque. Le site est transmis jusqu’au dernier couple de la bande. 
On pointe tous les points du canevas ANB, ainsi que les points d’altitude connue. 
Les éloignements z sont notés et les points piqués au coordinatographe dans chaque 
couple. 
Pour chaque image plastique, on note les lectures x et 7 sur les centres de plaque 
(convergence et site). 
  
   
     
    
   
   
    
    
    
   
    
    
  
    
    
  
  
   
   
   
    
    
    
    
    
   
   
     
    
    
  
   
  
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