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Dans le premier montage, l'altitude d'un point quelconque sera :
Ze — cote surface (1)
Dans le deuxiéme montage, elle deviendra :
Ze + cote surface — constante (2).
On adoptera la moyenne de ces deux valeurs.
Cet artifice très simple élimine de nombreuses causes d’erreurs :
1° L'influence de la gravité tend à déformer l'assemblage des lames de rhodoid.
Elle agit de facon identique sur les cotes des surfaces dans les deux montages et se
trouve éliminée dans la moyenne.
2^ Il en est de méme des erreurs provenant de la non-planéité rigoureuse des
lames ou du plan de référence, pour la méme raison.
3» Une cause d'erreur importante provient du fait que les lames ne sont pas infi-
niment minces et que les liaisons imposées par les colliers ne sont pas ponctuelles.
FrG. 5. Fig. 6.
Au moment du montage, on fixe la cote de la tranche inférieure du collier de ser-
rage inférieur. Au moment de la mesure, on mesure la cote de la face supérieure de la
lame. On s'arrange pour que, par construction, les lectures des instruments soient iden-
tiques /a lame étant horizontale. En réalité, la lame peut avoir au point considéré une
pente x. La différence de cote entre la face supérieure de la lame et la base du collier
n'est plus égale à la somme E — 0 des épaisseurs de la lame et du collier, mais à
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—— À - X tg a
coss. 2
d étant le diamètre de la tranche supérieure du collier. L'erreur est importante si «
est grand. Dans le deuxiéme montage, l'erreur aura exactement la méme valeur, la
lame prenant une position symétrique. Elle disparaît donc dans la moyenne.
Ceci autorise l’emploi de colliers de forme absolument quelconque pourvu qu’ils
soient identiques. On peut en particulier utiliser de simples colliers cylindriques, avec
interposition de rondelles. Ceci permet de pratiquer dans les lames de rhodoïd des
trous de grand diamètre, 6 mm par exemple, évitant les efforts latéraux sur les tiges
dans le cas de fortes inclinaisons des lames ( fig. 6).
Le double montage permet en outre d'obtenir deux valeurs complétement indé-
pendantes de l’altitude du point. S'il s'agit d’un point de liaison, les mesures sont même
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