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Conclusion. Emploi pratique du procédé.
Depuis le début de l’année 1955, ce procédé a été systématiquement employé,
en remplacement de la T.P.F.R., pour obtenir le canevas planimétrique des levés au
1/100.000 en région tropicale, lorsque le canevas altimétrique est déterminé par aéro-
cheminement.
La pratique a montré que l’assemblage mécanique, s’il est un peu plus long et
délicat à exécuter que l’assemblage T.P.F.R. classique, est aussi beaucoup plus rigide
et sa précision absolue moyenne est meilleure.
Ceci permet de se contenter d’un canevas de points astronomiques moins dense :
un point tous les 100 km en moyenne suffit à assurer à l’assemblage une tenue très
satisfaisante ; c'est encore un avantage sur la T.P.F.R. classique, pour laquelle on
estime nécessaire un point astronomique tous les 40 km en moyenne.
Les points sont reportés sur les plaques de rhodoid à échelle moitié de celle des
images plastiques (c'est-à-dire à des échelles de l'ordre du 1/40.000 au 1/50.000) et
les assemblages sont faits au 1/50.000. .
L'I.G.N. envisage d'autre part actuellement d'appliquer ce procédé de compen-
sation mécanique d'échelle à la détermination du canevas planimétrique pour des levés
à échelle plus grande : levés réguliers au 1/50.000 (restitués au 1/40.000), pour lesquels
le canevas était obtenu jusqu'à présent par aérocheminement entiérement calculé (mé-
thode présentée en 1952 au Congrés de Washington). Les points sont alors reportés
à l'échelle des images plastiques (1/20.000 au 1/25.000), et l'assemblage monté par
exemple au 1/20.000. L'emploi de ce procédé dans ce cas conduira à un gain de rende-
ment très appréciable, en conservant une précision suffisante pour un levé au 1/50.000.
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