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LIVRE I.
i CF est égal
plus courte
de ABF est
c i 0 , la per-
lique.
en outre AB
t que le tri-
nc les côtés
?s qui s’éçar-
it égales.
; lignes AG ,>
tés AD, DF;
plus courte
•bliques qui
ont les plus
LIVRE I. 19
faire sera inégalement distant des mêmes extré
mités A ct ü.
Car, i° puisqu’on suppose AC=:CB, les deux obli
ques AD, DB, s’écartent également de la perpendi
culaire ; donc elles sont égales. Il en est de même des
deux obliques AE, EB, des deux AF, FB, etc. ; donc
i°, tout point de la perpendiculaire est également dis
tant des extrémités A et B.
2 0 Soit I un point hors de la perpendiculaire ; si
on joint IA, IB, l’une de ces lignes coupera la per
pendiculaire en D, d’où tirant DB, on aura DB=:DA.
Mais la ligne droite IB est plus petite que la ligne
brisée ID + DB, et ID + DB=]D-!-DA=:IA ; donc
IB<IA; donc 2 0 , tout point hors de la perpendicu
laire est inégalement distant des extrémités A et B.
ire la vraie
îlle est plus
PROPOSITION XVIII.
THEOREME.
à une même
;, il y aurait
ux obliques
Deux triangles rectangles sont égaux lors
qu ils ont l’hypoténuse égale et un côté égal.
ite AB , on
tte droite;
? sera éga
le la ligne
irpendicu-
Soit l’hypoténuse AC=DF, et le côté AB=DE, je fig. 33,
dis que le triangle rectangle ABC sera égal au triangle
rectangle DEF.
L’égalité serait manifeste si le troisième côté BG
était égal au troisième EF ; supposons , s’il est pos
sible, que ces côtés ne soient pas égaux, et que BG
soit le plus grand. Pi’enez BG—EF, et joignez AG.
Le triangle ABG est égal au triangle DEF; car l’angle
droit B est égal à l’angle droit E, le côté AB—DE, et
le côté BG—EF ; donc ces deux triangles sont égaux*, * pr. 6,
et on a par conséquent AG=DF; mais, par hypo-
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