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COURS DE FORMATION POUR OPERATEUR EN RELEVEMENT
PHOTOGRAMMETRIQUE DES BIENS CULTURELS
Résumée
La CEE a financié pour les deux années 1989/90 une école de
spécialisation en relèvement phôtogrammétrique à courte
distance. L’école a son siège à Vercelli, Italie; on décrit
les motivations et les buts qu’ont permis sa naissance et
conduit son dévéloppement opératif.
L’Italie possède sur son territoire à peu près 40% de tous
les biens culturels de la terre. La concentration de ce
patrimoine considérable demande d’abord une catalogation
detallié qui décrie chaque bién et qui permet éventuellement
des interventions de restauration.
Cette catalogation, pas seulement qualificative mais meme
métrique, trouve dans le relèvement photogrammétrique
terrestre la réponse plus » valide aux exigences
d’intervention. C’est donc prévu, dans les prochaines
années, une exigence considérable de revèlement
photogrammétrique terrestre. Déjà aujourd’hui les opérations
de ce type sont remarquables; mais le travail vient réfréné
par l’insuffisance de disponibilité des organismes proposés
à cette tache et les Compagnies qui travaillent en
relèvement photogrammétrique, n’ont pas assez opérateurs
formés professonalement à ces opérations. Il va sans dire
que du point de vue de 1’impostation téorique les reliefs
terrestre et aeréen sont presque pareils; du point de vue
pratique au contraire, le relief terrestre est, comme
opération de prise, de restitution et de élaboration finale
est assez différent de celui aéreen.
L’introduction dans la production cartografique des
restituteurs analytiques donne, en téorie, la possibilité
des emplois des restituteurs analytiques pour les reliefs
terrestres; l’emploi des restituteurs analogiques cet emploi
c’était sans doute limité par la différente condition de la
prise terrestre assez dépendante de la forme de l’objet, but
du relief. Mais quand on exécute des restitutions de prise
terrestre par restituteurs analytiques l’emploi n’est pas-
toujours possible, tandis qu’il y a actuellement que
