DES QUADRATURES. 545
et èn considérant x comme une fonction connue de 2, faisant ensuite
dans les coeiïiciens différentiels t = o, on aura
dx
dt
d 3 x . i
“T'
}
d 5 x
+ '
i d’x \
Ts * ■^7 + etc *j*
(5o). Si dans l’équation f= Me ou log M — log^'r=2 2 , on
substitue la valeur dey en x, on aura une équation entre oc et t y
d’où on devra déduire les valeurs des coefficiens , etc. qui
entrent dans la formule précédente, et dans lesquels on fera en
suite t = o ou X7= m. C’est dans les exemples particuliers qu’il
convient de déterminer ces coefficiens ; cependant on peut aussi les
déduire généralement des coefficiens^^, 277’ e * c ' su PP os és con
nus au point du maximum.
En effet l’équation logM — logjp = 2 a étant différentiée , donne
~dx * "4" 2t y = °* on Y x — m ou o, on n’en tire
aucun résultat, parce qu’alors o; mais si on différentie une
seconde fois, on aura
ddx , , dy dx
-dF + V'+zt-È-HT
o, on aur;
ddy dx 2 , ,, , ,
*<&■-dF+ 2 J r = 0 ’ dou re -
ddy dx 2 , dy
dx 1 ’ dt 2 dx
faisant dans celle-ci t =
suite — , ou
Si donc la série (i) est assez convergente pour qu’on puisse la
réduire à son premier terme, on aura l’intégrale cherchée
Z f/
j et — étant les valeurs de ces quantités au point du maximum
où x = m.
En différentiant ultérieurement l’équation dont nous avons tiré
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